Avant toute chose, il est important d’appréhender le mécanisme de la fonction. Cela permettra, par la suite, d’éviter un certain nombre d’erreurs dues à sa mauvaise compréhension.
L’utilisation d’un include() revient à faire un simple copié-collé : le code du fichier appelé est inséré à l’intérieur de la page appelante, à l’endroit exact où se trouve la fonction. Elle peut être placée n’importe où, à l’intérieur du code source : entre les balises <head> et </head> ou <body> et </body>, par exemple.
Le navigateur ne visualisera qu’un seul et même document avec, en lieu et place de votre include(), le contenu du fichier inclus.
Le fichier inclus peut être de n’importe quel type (HTML, JavaScript, PHP, Texte…) et avoir n’importe quelle extension (.htm, .php, .tpl, .kiwi, …) : seul le contenu du fichier importe réellement. Il n’est pas à considérer comme une page à part entière : il n’a pas pour vocation d’être visualisé en tant que tel. L’utilisation d’une extension spécifique significative (comme par exemple .inc.php -pour include-) permet d’avoir une meilleure visibilité et d’éviter ainsi quelques erreurs.
Pour éviter toute faille de sécurité, nous préférerons utiliser une extension .php afin que le fichier soit automatiquement interprété et sa source non visualisable dans le navigateur. Toute autre extension permettrait à quiconque d’avoir accès au contenu du fichier, ce qui pourrait se révéler problématique s’il contenait des données confidentielles, comme par exemple des informations de connexion à mysql.
Enfin, n’oubliez pas qu’un include() est une fonction php. Il est donc impératif que l’extension de votre page appelante soit de type php.